Impossible de choisir : aussi bien embrasser.
Volatile en halte migratoire toujours, j'explore de manière constante la forme du journal à travers une production d’écrits et de dessins en se penchant sur la question d’altérité et la notion de territoire subjectif. Cet intérêt pour les relations entre (humains/autres vivants) et les rapports qu’ils tissent à leur environnement m'amène à développer le travail par plusieurs approches. Elles sont dérivées du dessin, intègrent l'objet, le texte, la photographie, la peinture, les arts d'impressions. Ces méthodes s'assemblent parfois à travers des performances, des interventions et des installations. J'aime jouer avec le pouvoir de la couleur et des contrastes à travers les mots, les idées. Je tente de pousser les réflexions sur les effets du passage humain dans le territoire et par la naissance d’un dialogue entre les images, je soulève doucement la question d’altérité à travers les éléments naturels.
LE TERRITOIRE. LE VENT.
En cherchant à comprendre la diversité des usages et des perceptions sur un espace commun en tant que site ou lieu géographique spécifique, je crée des ponts entre ce qui est vécu et ce qui est ressenti en réalisant des objets ou des jeux polysémiques de type relationnel, ouverts à diverses interprétations. Ces ponts se font également transdisciplinaires à travers l’emprunt et l'utilisation de méthodes et protocoles qui confèrent de fausses légitimités aux résultats. L’oeuvre est ainsi parfois issue de l'illusion d'un processus rigoureux qui escamote une démarche purement subjective. Mon cheminement en écologie perméabilise la cassure entre les domaines : arts et sciences s'épousent au travers des réalisations, et s'expriment, tout simplement.
Également inspiréx par le vent, les oiseaux et le travail de Walking Art de Simon Faithfull qui s'efforce de comprendre le monde en tant qu'objet sculptural, je tente d'inscrire le déambulatoire, la migration et la mobilité dans ma pratique à cheval entre les domaines par l'exploration physique des territoires subjectifs.
Volatile en halte migratoire toujours, j'explore de manière constante la forme du journal à travers une production d’écrits et de dessins en se penchant sur la question d’altérité et la notion de territoire subjectif. Cet intérêt pour les relations entre (humains/autres vivants) et les rapports qu’ils tissent à leur environnement m'amène à développer le travail par plusieurs approches. Elles sont dérivées du dessin, intègrent l'objet, le texte, la photographie, la peinture, les arts d'impressions. Ces méthodes s'assemblent parfois à travers des performances, des interventions et des installations. J'aime jouer avec le pouvoir de la couleur et des contrastes à travers les mots, les idées. Je tente de pousser les réflexions sur les effets du passage humain dans le territoire et par la naissance d’un dialogue entre les images, je soulève doucement la question d’altérité à travers les éléments naturels.
LE TERRITOIRE. LE VENT.
En cherchant à comprendre la diversité des usages et des perceptions sur un espace commun en tant que site ou lieu géographique spécifique, je crée des ponts entre ce qui est vécu et ce qui est ressenti en réalisant des objets ou des jeux polysémiques de type relationnel, ouverts à diverses interprétations. Ces ponts se font également transdisciplinaires à travers l’emprunt et l'utilisation de méthodes et protocoles qui confèrent de fausses légitimités aux résultats. L’oeuvre est ainsi parfois issue de l'illusion d'un processus rigoureux qui escamote une démarche purement subjective. Mon cheminement en écologie perméabilise la cassure entre les domaines : arts et sciences s'épousent au travers des réalisations, et s'expriment, tout simplement.
Également inspiréx par le vent, les oiseaux et le travail de Walking Art de Simon Faithfull qui s'efforce de comprendre le monde en tant qu'objet sculptural, je tente d'inscrire le déambulatoire, la migration et la mobilité dans ma pratique à cheval entre les domaines par l'exploration physique des territoires subjectifs.
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