Projet Invasif - GHAM&DAFE
2016
Affichage public
Dimensions inconnues
Projet réalisé à la suite d'un appel de dossier fait par la galerie GHAM&DAFE à Montréal, qui visait à promouvoir le travail d'un artiste à travers un mode d'affichage sauvage sur les palissades de la ville. Le dossier présenté comprenait 4 images parmi lesquelles une serait choisie pour être imprimée en grand format et être affichée sur les murs en ville.
En croyant faire une blague sympathique, j'ai ajouté au dossier une 5e image qui ne m'appartenait pas, représentant un enfant souriant à dos de poney. J'ai par la suite appris la sélection de mon dossier, cependant l'image choisie était la dernière mentionnée. Ne pouvant afficher un dessin dont je ne détenais pas les droits, j'ai dû proposer des images créées de toutes pièces afin de résoudre ce fâcheux imbroglio avec la galerie, qui refusait de donner la chance à quelqu'un d'autre.
L'oeuvre proposée en deux versions se veut donc comme de plates excuses au spectateur qui ne peut avoir accès à l'oeuvre originale choisie, puisque étant issue d'un stupide pied-de-nez à la rigidité du processus sélectif en vigueur lors des appels de dossier. Ayant donc dérogé à cette rigueur instaurée, j'ai créé une situation non désirée de laquelle il me fut primordial de me sortir en utilisant la même ironie et en récupérant des symboles visibles sur l'image originale sélectionnée - le poney, l'enfant souriant. De plus, en vue de respecter l'objectif premier lié à l'appel de dossier, j'ai utilisé le placardage comme médium pour me faire connaître par l'absurdité; mon nom est au final l'élément important sur chacune des affiches.
Le message est le même sur les deux versions;
<< NON, à l'avenir je ne ferai plus de blague lors des appels de dossiers
Les arts visuels c'est du sérieux >>
2016
Affichage public
Dimensions inconnues
Projet réalisé à la suite d'un appel de dossier fait par la galerie GHAM&DAFE à Montréal, qui visait à promouvoir le travail d'un artiste à travers un mode d'affichage sauvage sur les palissades de la ville. Le dossier présenté comprenait 4 images parmi lesquelles une serait choisie pour être imprimée en grand format et être affichée sur les murs en ville.
En croyant faire une blague sympathique, j'ai ajouté au dossier une 5e image qui ne m'appartenait pas, représentant un enfant souriant à dos de poney. J'ai par la suite appris la sélection de mon dossier, cependant l'image choisie était la dernière mentionnée. Ne pouvant afficher un dessin dont je ne détenais pas les droits, j'ai dû proposer des images créées de toutes pièces afin de résoudre ce fâcheux imbroglio avec la galerie, qui refusait de donner la chance à quelqu'un d'autre.
L'oeuvre proposée en deux versions se veut donc comme de plates excuses au spectateur qui ne peut avoir accès à l'oeuvre originale choisie, puisque étant issue d'un stupide pied-de-nez à la rigidité du processus sélectif en vigueur lors des appels de dossier. Ayant donc dérogé à cette rigueur instaurée, j'ai créé une situation non désirée de laquelle il me fut primordial de me sortir en utilisant la même ironie et en récupérant des symboles visibles sur l'image originale sélectionnée - le poney, l'enfant souriant. De plus, en vue de respecter l'objectif premier lié à l'appel de dossier, j'ai utilisé le placardage comme médium pour me faire connaître par l'absurdité; mon nom est au final l'élément important sur chacune des affiches.
Le message est le même sur les deux versions;
<< NON, à l'avenir je ne ferai plus de blague lors des appels de dossiers
Les arts visuels c'est du sérieux >>
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